2 avril 2023
Souris et rats

Punaises de lit, souris et moisissures : Comment faire face aux infestations dans votre maison française ?

Les nuisibles (animaux et champignons) font partie intégrante de la vie en France, en particulier dans les villes. Voici ce que vous devez savoir si vous avez des visiteurs indésirables dans votre maison.

Des horreurs des punaises de lit et des souris aux risques sanitaires de la moisissure, il y a certaines choses avec lesquelles personne ne veut partager sa maison.

Si vous êtes locataire, vous devez d’abord savoir si c’est votre responsabilité ou celle du propriétaire.

Droit locatif

Le principe de base est que les propriétaires sont tenus de fournir aux locataires un « logement décent » – ceci est défini par une loi (que vous trouverez ICI) adoptée en 2002. Essentiellement, un logement peut être considéré comme indécent s’il présente des risques évidents pour la sécurité physique et la santé des occupants, et cela peut certainement inclure une infestation de souris ou des moisissures importantes, qui peuvent entraîner des problèmes respiratoires.

Si des travaux de réparation doivent être effectués, le propriétaire doit en informer le locataire, soit par courrier recommandé, soit en personne. Le propriétaire doit préciser la nature des travaux et la façon dont ils seront effectués (c’est-à-dire la date de début, la durée, le niveau d’accès nécessaire). Le locataire doit permettre l’accès au logement pour les travaux à effectuer, mais il peut refuser l’accès pour les travaux non urgents les week-ends et les jours fériés.

Si les travaux de réparation durent plus de 21 jours, le propriétaire doit accorder une réduction de loyer « proportionnelle à la durée des travaux ».

Le locataire a le droit de saisir le tribunal administratif si les travaux rendent l’usage du logement impossible ou dangereux à vivre. Dans ce cas, le juge peut suspendre la poursuite des travaux, les arrêter purement et simplement ou permettre la résiliation du bail si les travaux rendent le logement inhabitable.

Moule

La moisissure touche entre 14 et 20 % des logements en France, selon les données de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation (Anses). Elle peut se trouver partout dans un logement, que ce soit sur les plafonds, les murs, les moquettes, dans les salles de bains et même dans les placards. Généralement, la moisissure s’accompagne d’une odeur. Elle peut également provoquer l’apparition de taches noires ou vertes, le gonflement ou le décollement des murs ou des sols.

Premières mesures

Si vous êtes locataire, la première chose à faire est de déterminer qui est responsable du traitement de la moisissure.

Le locataire doit s’en occuper s’il est responsable de la cause du problème – par exemple, s’il obstrue les bouches d’aération, s’il ne répare pas les dommages causés par ses appareils personnels, s’il ne chauffe pas ou ne ventile pas le logement ou s’il laisse la moisissure se propager sans réagir.

D’autre part, le propriétaire a l’obligation légale de « fournir un logement décent » – cela signifie que le logement doit disposer d’un système de ventilation efficace, d’une isolation correcte et être complètement protégé contre toute infiltration d’eau, que ce soit par les fenêtres, les murs, le toit ou le sol. Si ces éléments ne sont pas en place, la moisissure est alors la responsabilité du propriétaire.

Options légales

Si vous êtes locataire et que vous êtes sûr que la moisissure est la responsabilité du propriétaire, la première étape est bien sûr de lui demander de s’en occuper. Avec un peu de chance, vous avez un bon propriétaire qui fait le travail en temps voulu. Si, par contre, vous avez la malchance d’avoir un propriétaire peu serviable, les choses peuvent se compliquer.

Si une demande polie n’a rien donné, l’étape suivante consiste à informer le propriétaire du problème de moisissure par lettre recommandée. Vous devrez peut-être faire appel à un expert pour déterminer la cause de la moisissure, ce qui vous permettra de joindre une preuve de la responsabilité des réparations. Vous trouverez un exemple de la lettre à envoyer ICI.

Si le logement n’est plus « décent » – c’est-à-dire qu’il présente un danger physique ou sanitaire pour l’occupant – le locataire peut alors exiger par courrier recommandé que le propriétaire prenne des mesures (en invoquant l’obligation légale de fournir un « logement décent ») et demander que les travaux soient effectués aux frais du propriétaire dans un délai donné.

Si le propriétaire refuse ou ne répond pas au courrier recommandé, le locataire a alors officiellement le recours légal de porter l’affaire devant le tribunal administratif qui peut exiger que le propriétaire commence les travaux à ses propres frais.

La deuxième option pour le locataire serait de contacter la mairie, afin de demander une intervention auprès du service communal d’hygiène et de santé (SCHS) pour certifier l’état du logement. Si la demande est honorée, l’intervention doit alors avoir lieu dans les trois mois.

Le rapport sera alors envoyé au propriétaire par courrier recommandé, et dans les 30 jours qui suivent, propriétaire et locataire auront le temps de rédiger leurs points de vue sur l’état du logement.

Si vous cherchez une aide supplémentaire tout au long de la procédure, vous pouvez toujours contacter l’ADIL (l’agence départementale pour l’information sur le logement) pour obtenir des conseils juridiques gratuits.

Options pratiques

Si vous êtes propriétaire de votre logement ou si vous ne voulez pas vous engager dans une procédure juridique longue et compliquée, il existe quelques options pratiques que vous pouvez prendre.

Si la moisissure est minime – c’est-à-dire que la surface ne dépasse pas 3 mètres carrés – vous pourrez probablement vous en débarrasser vous-même à l’aide d’une éponge, de liquide vaisselle, de vinaigre blanc ou d’eau de Javel.

Pour les murs, vous pouvez envisager d’utiliser un produit chimique anti-moisissure que vous devriez pouvoir trouver dans les quincailleries, ou de repeindre avec une peinture anti-humidité. Vous pouvez également éliminer l’excès d’humidité avec un déshumidificateur.

Si vous êtes propriétaire, vous pouvez peut-être bénéficier d’une subvention à la rénovation. Sous certaines conditions, les travaux de rénovation énergétique, comme l’installation d’un système de ventilation mécanique ou l’amélioration de l’isolation et de l’étanchéité, peuvent bénéficier d’une aide financière publique.

Si vous êtes locataire, vous pouvez choisir de déménager tout simplement.

Si vous disposez d’un préavis de trois mois, celui-ci peut être réduit à un mois si vous pouvez obtenir un certificat médical de votre médecin attestant de la nécessité d’un changement de domicile car les moisissures du logement actuel affectent votre santé.

Pour trouver un professionnel capable de traiter le problème, vous pouvez envisager de faire appel à un plombier (un plombier) si les moisissures proviennent d’une fuite, ou à un couvreur (un couvreur) si le problème vient du toit. La première étape consiste à demander un « diagnostic humidité ».

Moisissure

La moisissure touche entre 14 et 20 % des logements en France, selon les données de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation (Anses). Elle peut se trouver partout dans un logement, que ce soit sur les plafonds, les murs, les moquettes, dans les salles de bains et même dans les placards. Généralement, la moisissure s’accompagne d’une odeur. Elle peut également provoquer l’apparition de taches noires ou vertes, le gonflement ou le décollement des murs ou des sols.

Premières étapes

Si vous êtes locataire, la première chose à faire est de déterminer qui est responsable du traitement de la moisissure.

Le locataire doit s’en occuper s’il est à l’origine du problème – par exemple, s’il obstrue les bouches d’aération, s’il ne répare pas les dommages causés par ses appareils personnels, s’il ne chauffe pas ou ne ventile pas le logement ou s’il laisse la moisissure se propager sans réagir.

D’autre part, le propriétaire a l’obligation légale de « fournir un logement décent » – cela signifie que le logement doit disposer d’un système de ventilation efficace, d’une isolation correcte et être complètement protégé contre toute infiltration d’eau, que ce soit par les fenêtres, les murs, le toit ou le sol. Si ces éléments ne sont pas en place, la moisissure est alors la responsabilité du propriétaire.

Options légales

Si vous êtes locataire et que vous êtes sûr que le propriétaire est responsable de la moisissure, la première étape consiste bien sûr à lui demander de s’en occuper. Avec un peu de chance, vous avez un bon propriétaire qui fait le travail en temps voulu. Si, par contre, vous avez la malchance d’avoir un propriétaire peu serviable, les choses peuvent se compliquer.

Si une demande polie n’a rien donné, l’étape suivante consiste à informer le propriétaire du problème de moisissure par lettre recommandée. Vous devrez peut-être faire appel à un expert pour déterminer la cause de la moisissure, ce qui vous permettra de joindre une preuve de la responsabilité des réparations. Vous trouverez un exemple de la lettre à envoyer ICI.

Si le logement n’est plus « décent » – c’est-à-dire qu’il présente un danger physique ou sanitaire pour l’occupant – le locataire peut alors exiger par courrier recommandé que le propriétaire prenne des mesures (en invoquant l’obligation légale de fournir un « logement décent ») et demander que les travaux soient effectués aux frais du propriétaire dans un délai donné.

Si le propriétaire refuse ou ne répond pas au courrier recommandé, le locataire a alors officiellement le recours légal de porter l’affaire devant le tribunal administratif qui peut exiger que le propriétaire commence les travaux à ses propres frais.

La deuxième option pour le locataire serait de contacter la mairie, afin de demander une intervention auprès du service communal d’hygiène et de santé (SCHS) pour certifier l’état du logement. Si la demande est honorée, l’intervention doit alors avoir lieu dans les trois mois.

Le rapport sera alors envoyé au propriétaire par courrier recommandé, et dans les 30 jours qui suivent, propriétaire et locataire auront le temps de rédiger leurs points de vue sur l’état du logement.

Si vous cherchez une aide supplémentaire tout au long de la procédure, vous pouvez toujours contacter l’ADIL (l’agence départementale pour l’information sur le logement) pour obtenir des conseils juridiques gratuits.

Options pratiques

Si vous êtes propriétaire de votre bien ou si vous ne voulez pas vous engager dans une procédure judiciaire longue et compliquée, il existe des solutions pratiques que vous pouvez adopter.

Si la moisissure est minime – c’est-à-dire que la surface ne dépasse pas 3 mètres carrés – vous pourrez probablement vous en débarrasser vous-même à l’aide d’une éponge, de liquide vaisselle, de vinaigre blanc ou d’eau de Javel.

Pour les murs, vous pouvez envisager d’utiliser un produit chimique anti-moisissure que vous devriez pouvoir trouver dans les quincailleries, ou de repeindre avec une peinture anti-humidité. Vous pouvez également éliminer l’excès d’humidité avec un déshumidificateur.

Si vous êtes propriétaire, vous pouvez peut-être bénéficier d’une subvention à la rénovation. Sous certaines conditions, les travaux de rénovation énergétique, comme l’installation d’un système de ventilation mécanique ou l’amélioration de l’isolation et de l’étanchéité, peuvent bénéficier d’une aide financière publique.

Si vous êtes locataire, vous pouvez choisir de déménager tout simplement.

Si vous disposez d’un préavis de trois mois, celui-ci peut être réduit à un mois si vous pouvez obtenir un certificat médical de votre médecin attestant de la nécessité d’un changement de domicile car les moisissures du logement actuel affectent votre santé.

Pour trouver un professionnel capable de traiter le problème, vous pouvez envisager de faire appel à un plombier (un plombier) si les moisissures proviennent d’une fuite, ou à un couvreur (un couvreur) si le problème vient du toit. La première étape consiste à demander un « diagnostic humidité ».

Punaises de lit

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Les punaises de lit sont malheureusement un problème courant en France. Selon une étude réalisée par l’IPSEE en 2021, 4,7 millions de personnes, soit 7 % de la population française, ont eu affaire à ces nuisibles au cours des cinq dernières années.

Si toutes les régions sont touchées par les punaises de lit, elles sont particulièrement fréquentes dans les zones urbaines et en région parisienne notamment – même certains des hôtels les plus chics de la capitale ont subi des infestations.

Premiers pas

Apprenez tout d’abord à reconnaître une punaise de lit. Elles mesurent environ quatre à sept millimètres de long et sont de couleur brune à violette.

Si vous avez des piqûres sur les bras et les jambes, et/ou des traces de sang sur vos draps, alors vous devriez vérifier la présence de punaises de lit. Les concentrations de petits points noirs sont généralement un signe de punaises de lit.

Elles ont tendance à habiter les espaces sombres, étroits et inaccessibles, et elles se propagent souvent en étant transportées d’un endroit à l’autre dans les meubles, les vêtements et les bagages. Vous pouvez être exposé au risque de punaises de lit si vous avez récemment voyagé ou si vous avez séjourné dans un hôtel ou un autre logement où des punaises de lit sont présentes. Vous êtes également à risque si vous avez récemment acheté des objets d’occasion, comme des meubles usagés, ou si vous vivez dans un immeuble en colocation dont un autre appartement a des punaises de lit.

Le gouvernement français a également ouvert un numéro de téléphone dédié – 0806 706 806 – pour répondre à toutes les questions concernant les punaises de lit.

Options juridiques et administratives

La première chose à faire est de déterminer d’où viennent les punaises, car cela détermine la responsabilité de l’infestation.

Il arrive que les infestations de punaises de lit se produisent dans les parties communes des immeubles d’habitation. Dans ce cas, c’est au syndicat de copropriétaires de l’immeuble de payer le traitement.

Le coût du traitement serait alors divisé en fonction du nombre d’appartements traités. Dans les cas extrêmes, lorsque l’ensemble de l’immeuble est touché par les nuisibles, y compris dans les parties communes, les frais de désinfection sont alors facturés en plus des charges habituelles de l’immeuble.

Il n’est pas rare de rencontrer une situation où un appartement a cherché à exterminer le problème des punaises de lit dans son espace privé, mais où le voisin ne s’en est pas occupé et où l’infestation continue donc. Dans ce scénario, si cette maison est considérée comme la source de la prolifération des punaises de lit, les autres propriétaires de l’immeuble peuvent engager une action en justice contre le propriétaire.

Si vous êtes locataire, votre propriétaire doit payer les frais car une maison infestée de punaises de lit n’est pas considérée comme un « logement décent ». Toutefois, si le propriétaire peut prouver que la présence de punaises de lit est due au locataire, il peut renoncer à sa responsabilité de couvrir les frais d’éradication des parasites.

Un processus similaire à celui décrit ci-dessus pour la moisissure se déroule si le locataire souhaite forcer le propriétaire à agir – le locataire doit envoyer un courrier recommandé et daté au propriétaire pour demander que l’infestation soit traitée de manière professionnelle et que le logement soit mis en conformité.

Si le propriétaire ne répond pas dans les deux mois, le locataire peut saisir le tribunal administratif pour obtenir un avis.

Options pratiques

Si vous pouvez prendre certaines mesures par vous-même, comme laver toute la literie et le linge de maison à 60C ou les congeler à 20C pendant au moins 72 heures, vous devrez probablement faire appel à un professionnel pour vous débarrasser complètement des insectes.

Pour trouver un exterminateur professionnel, vous pouvez consulter la liste approuvée par le gouvernement ICI. Sur le site, vous pouvez sélectionner votre département et vous obtiendrez plusieurs options de professionnels de la lutte antiparasitaire qualifiés et spécialisés dans les punaises de lit. Si vous voulez trouver votre propre exterminateur, vous pouvez essayer de chercher des termes clés comme « débarrasser des punaises de lit » ou « l’extermination des punaises de lit » ou « traitement punaises de lit professionnel ».

Si vous êtes locataire, il se peut que votre propriétaire soit responsable des coûts, mais s’il traîne les pieds et que vous ne supportez plus les punaises, vous pouvez décider d’aller de l’avant et de payer vous-même l’exterminateur.

Dans ce cas, conservez tous les reçus et devis, et prenez des photos si possible. Il se peut que vous puissiez obtenir une indemnisation de votre propriétaire pour le travail effectué.

Souris et rats

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Malheureusement, les rongeurs en France ne sont pas aussi amicaux et inoffensifs que Ratatouille pourrait vous le faire croire.

Les villes françaises se livrent à une lutte constante pour contrôler les populations de nuisibles. À Marseille – ainsi qu’à Toulouse, Vincennes et Limoges – la ville a investi dans un plan visant à dresser des furets pour débusquer les rats. La ville de Paris a mis en place diverses opérations de destruction des rongeurs, mais on estime toujours que les rats sont deux fois plus nombreux que les humains.

Il n’est donc pas inhabituel d’avoir affaire à des souris ou des rats chez soi.

Premières mesures

Recherchez des excréments (généralement de la taille d’un grain de riz), ainsi que des marques ou des empreintes de pas, des signes de grignotage de la nourriture dans les placards et une odeur nauséabonde d’urine.

Options légales

Comme pour les punaises de lit, les propriétaires sont tenus de « fournir au locataire un logement décent ne laissant apparaître aucun risque manifeste pouvant porter atteinte à la sécurité physique ou à la santé, exempt de toute infestation d’espèces nuisibles et de parasites […] ».

Cela signifie que par défaut, c’est au propriétaire de mettre en œuvre toutes les mesures nécessaires pour éradiquer les nuisibles tels que les rats et les souris, en faisant appel à une société de désinsectisation, selon l’organisme de location Check and Visit.

Toutefois, le propriétaire peut ne pas être responsable s’il peut prouver que le locataire n’entretient pas suffisamment le logement pour ne pas favoriser l’apparition de nuisibles.

Comme indiqué ci-dessus, le locataire peut envoyer une lettre recommandée et engager une action auprès du tribunal administratif si le propriétaire ne répond pas.

Si vous achetez un bien immobilier et que vous découvrez qu’il est infesté de rongeurs, il n’y a malheureusement pas beaucoup de possibilités de recours.

Pour ceux qui vivent dans la ville de Paris, vous pouvez également signaler une infestation de rats ou de rongeurs (y compris les pigeons) à la préfecture. Cela permettra d’alerter les services de lutte contre les nuisibles de la présence d’une « nuisance animale ». Vous pouvez en savoir plus ICI.

Options pratiques

Si l’infestation est grave, vous devrez peut-être faire appel à un exterminateur professionnel, mais vous pouvez d’abord prendre certaines mesures.

La plus évidente est de s’assurer qu’il n’y a pas de nourriture pour les attirer : nettoyez les miettes, ne laissez pas de nourriture dehors et conservez les produits comme les céréales et les biscuits dans des récipients en plastique, en métal ou en verre, car les souris n’auront aucun mal à grignoter un paquet de céréales en carton.

Ensuite, il faut essayer de trouver par où elles entrent et, si possible, boucher les trous et utiliser de la laine d’acier pour boucher les interstices derrière les radiateurs ou près des tuyaux par lesquels les rongeurs pourraient entrer.

Le journal français Ouest France a dressé une liste de moyens naturels pour tenir les rongeurs à distance, parmi lesquels l’utilisation d’huiles essentielles de menthe poivrée, de laurier, de lavande, d’eucalyptus et de sauge, car apparemment les souris n’aiment pas ces odeurs.

Le conseil classique est de prendre un chat, mais il n’est pas nécessaire d’aller jusque-là pour dissuader les souris de pénétrer dans votre maison. En fait, il suffit d’utiliser de la litière pour chat pour repousser les nuisibles, car ils n’aiment pas cette odeur.

Si rien de tout cela ne fonctionne, vous devrez probablement faire appel à des professionnels et il vaut la peine de comparer les prix car ils peuvent varier considérablement d’une entreprise à l’autre. Le prix dépendra de la surface, de l’étendue de l’infestation, des techniques que l’entreprise prévoit d’utiliser et des contraintes techniques présentes. Un bon exterminateur ne se contentera pas de tuer les rongeurs déjà présents, il cherchera également à savoir comment ils s’introduisent et vous montrera comment bloquer les points d’entrée.

Pour en trouver un, essayez de chercher des termes tels que « dératisation » ou « traitement souris » (pour les souris), « traitement rats » (pour les rats) ou « traitement mulots » (pour les campagnols).

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